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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 09:45
Le séminaire "Eglise et Etat des Lumières à la Révolution française" débute ce jeudi 13 novembre de 13h à 15h salle 9 du 105 Bd Raspail.
Au programme: présentation de la problématique qui va nous animer cette année.
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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 00:07
Coq (symbole), coq gaulois
liste des monuments aux morts surmontés d'un coq:http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_monuments_aux_morts_fran%C3%A7ais_surmont%C3%A9s_d%27un_coq
    Dans la symbolique occidentale le coq est associé à la vigueur, au courage, à la vaillance, à la fierté et à la prétention.
    Le terme de coq a donné son nom à cocktail, mélange de boissons de diverses couleurs.
    Le coq gaulois est le symbole national de la France. Ceci est dû à un habile jeu de mot, car coq se disait « gallus », en latin et la Gaule se disait « Gallia ». C'est à la Renaissance que le gallinacé, symbole religieux d'espoir et de foi au Moyen-Âge, est associé à l'idée de nation ; les effigies des rois sont souvent accompagnées d'un coq. Ce dernier ornait également des monnaies, des uniformes et il figure toujours sur la grille de l'Élysée. Bien qu'il ne soit plus reconnu comme emblème officiel par la République française, il l'est bel et bien dans l'imaginaire collectif.
    Le coq est également l'emblème de la Wallonie, zone francophone de la Belgique. Afin de se distinguer du coq gaulois qui est statique, le coq wallon lève une patte.
    Dans la symbolique chrétienne, le coq est associé au Christ : tel le coq qui annonce une nouvelle journée, le Christ annonce une nouvelle ère. •    Dans la symbolique du bouddhisme tibétain, le coq représente l'avidité.
    Au Japon, le coq est lié aux Toriis.
    Dans la symbolique occidentale, la poule est associée à la fécondité, la maternité et l'instinct maternel. L'origine de cette symbolique réside dans le fait que la poule peut pondre un œuf presque chaque jour, qu'elle les couve éventuellement avec assiduité et qu'elle porte une très grande attention à ses poussins.
    Source: Wikipedia
    Lire surtout l’artice de Michel Pastoureau, “Le coq gaulois” dans Les lieux de memoires, III Les France 3 de l’archive à l’emblême, p. 507-539.
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27 octobre 2008 1 27 /10 /octobre /2008 11:50
Alain Tallon est  l'auteur d'un livre important sur le "gallicanisme" au XVIe siècle:

Conscience nationale et sentiment religieux en France au XVIe siècle. Essai sur la vision gallicane du monde, PUF, Paris, 2002.

Vous pouvez écouter une conférence où il expose magistralement en quelques minutes sa thèse principale:

http://www.canalacademie.com/Le-Gallicanisme.html
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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 00:24
Bossuet le verbe et l'histoire 1704-2004
http://www.decitre.fr/livres/Bossuet.aspx/9782840505815

Journée d'étude sur Bossuet en politique
http://www.cellf.paris-sorbonne.fr/documents/colloque_147.pdf
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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 23:56
Les parlements et la vie de la cité (XVIe-XVIIIe siècle)
Les parlementaires, les lettres et l'histoire au siècle des Lumières 1715-1789 : Actes du colloque de Pau, 7-8 et 9 juin 2006 (Broché)
http://www.amazon.fr/parlementaires-lettres-lhistoire-Lumi%C3%A8res-1715-1789/dp/235311007X/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1223420285&sr=1-1

Prochain colloque:

Les Parlements de Louis XIV (1655-1715)
colloque (recherche)

 

Le Cerhio-CNRS / UMR 6258 (Centre de recherches historiques de l'ouest / UFR sciences sociales) organise un colloque sur le thème "Les Parlements de Louis XIV (1655-1715)", du 13 au 15 novembre 2008. Celui-ci se déroulera à l'université Rennes 2 et au Parlement de Bretagne.

Responsables scientifiques : Gauthier Aubert (université Rennes 2) et Olivier Chaline (Paris IV-Sorbonne)


Renseignements : 02 99 14 18 91  /  jean-charles.sinaud@univ-rennes2.fr

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Ce colloque propose de revenir sur la question, aujourd’hui controversée, de l’absolutisme et sur celle du rôle des Parlements sous le règne de Louis XIV.


Ce colloque s’inscrit pleinement dans le renouvellement de l’histoire politique française, manifeste depuis une quinzaine d’années. Il se situe dans le prolongement de deux précédentes rencontres consacrées à l’histoire des Parlements, qui se sont tenues à Rouen en 2002 et 2006. D’autres villes (Bordeaux, Grenoble en particulier) devraient à l’avenir accueillir ces colloques parlementaires, qui ont donc vocation à devenir itinérants.

Conformément à l’esprit qui a prévalu lors des colloques rouennais, le colloque propose d’être ouvert sur la ville et la région, d’une part par l’établissement de contacts avec des institutions judiciaires (Cour d’appel, Barreau de Rennes) et des sociétés savantes, d’autre part en organisant des séances en extérieur sous forme de visites, sur certains des lieux de l’histoire parlementaire locale (Parlement de Bretagne, demeures parlementaires, églises).

Problématique :

A une époque, la seconde moitié du XVIIe siècle, où l’Etat est encore largement un « Etat de justice », lointaine émanation de la figure mythique de saint Louis rendant la justice sous son chêne, les douze Parlements français sont au cœur de l’Etat : juridiction d’appel, ils disposent également d’un pouvoir réglementaire et, surtout, peuvent opposer aux décisions royales leur fameux droit de remontrances. Depuis Tocqueville et surtout Lavisse, les historiens ont insisté sur l’idée selon laquelle, passée la Fronde, les Parlements auraient été muselés par Louis XIV. La soumission de la noblesse de robe, dans la présentation classique du règne de Louis le Grand, faisait ainsi le pendant à la « domestication » de la haute noblesse, en y ajoutant une dimension provinciale. Absolutisme et centralisation semblaient dès lors irrémédiablement liés.

Cette image d’une pacification du royaume menée de façon autoritaire et unilatérale par un pouvoir plus que jamais sûr de lui, a cependant été remise en question ces dernières années, en particulier par des historiens anglo-saxons. Pour eux, l’absolutisme aurait été d’abord un discours, car, dans les faits, le pouvoir se serait avéré prudent et pragmatique. Finalement, le roi aurait établi un discret mais efficace compromis avec les élites françaises, chacune des deux parties trouvant un intérêt politique, social et financier à ce bon ordre monarchique. Le caractère novateur du colloque tient au fait que les études qui rendent compte de cette nouvelle manière de voir l’histoire politique du règne de Louis XIV se limitent en général à la première moitié du règne et, à de rares exceptions près, ne s’intéressent pas aux Parlements. En envisageant cette question à partir de ces institutions longtemps mal-aimées des historiens, en proposant de prendre en compte le règne de l’après Fronde (1655) jusqu’à la mort de Louis XIV (1715), en envisageant aussi une démarche résolument comparatiste, ce colloque ambitionne de faire le point sur la question de l’absolutisme et de la centralisation à une époque emblématique de l’histoire de la monarchie.

Axes de travail :
- La question de la pratique politique, avec une attention particulière portée à la gestion des conflits d’une part, et à la question de l’interférence des enjeux politiques sur la pratique du métier de juge (de ce dernier point découle en particulier l’ouverture du colloque à des historiens du droit).
- La question de la culture politique des parlementaires, avec une attention particulière à la notion de réseau, et une invitation à réfléchir à partir de cas individuels bien documentés susceptibles d’être révélateurs.


   Informations pratiques
  Date 13 novembre 2008 - 15 novembre 2008
  Lieu

Université Rennes 2 et Parlement de Bretagne

  Site Campus Villejean (Rennes) - Université Rennes 2 Haute Bretagne
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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 18:41

Caricature représentant Louis XVI sous la forme de Janus aux deux visages. Qui d'un coté prête serment aux représentants de la Nation "Je soutiendrai la Constitution" et de l'autre affirme aux représentants de l'église "Je détruirai la Constitution ".
musée Carnavalet







Gravure allégorique : « Le nouveau Janus français ». Assis sur un sac d'or, des assignats dans sa poche, avec deux visages et deux vêtements, le pouvoir « bascule » en permanence entre deux politiques et deux électorats : le peuple jacobin et les royalistes. B.N., photo Tallandier.


























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